Origine de la transmission |
Transmis via Hawayo Takata et ses élèves, adapté pour l’Occident à partir de 1938 |
Transmission directe au Japon, fondée sur les enseignements de Mikao Usui, approche conservée et réintroduite via recherches historiques |
Objectif principal |
Méthode de guérison énergétique pour soi et les autres |
Voie spirituelle et de développement personnel menant à Anshin Ritsumei (paix intérieure et réalisation de soi) |
Structure d’enseignement |
Souvent centrée sur 3 niveaux (Reiki I, II, Maître), avec insistance sur les positions de mains et les symboles |
Basée sur la pratique quotidienne, la méditation, les préceptes, les techniques japonaises, et l’intégration progressive |
Rôle des symboles |
Utilisés dès le niveau II comme « clés » pour activer l’énergie et effectuer des soins |
Outils d’approfondissement de la conscience, associés à un jumon (son sacré) pour soutenir la pratique intérieure |
Initiations |
Rituel fixe et codifié, souvent perçu comme un transfert permanent de capacité |
Reiju répété régulièrement, soutenant la connexion à la nature spirituelle et l’évolution personnelle |
Techniques enseignées |
Positions de mains fixes, ancrage, soins à distance |
Techniques japonaises traditionnelles : Gasshō, Joshin Kokyū Hō, Kenyoku Hō, Byōsen Reikan Hō, Reiji Hō, etc. |
Pratique sur autrui |
Souvent un objectif central dès le départ |
Secondaire au Shoden, priorité donnée à l’auto-traitement et à l'intégration de la pratique personnelle |
Dimension philosophique |
Présente, mais souvent brève ou simplifiée |
Cœur du système : préceptes, kototama (poèmes impériaux), méditation et travail intérieur quotidiens |
Lien à la culture japonaise |
Fortement occidentalisé : terminologie et méthodes adaptées |
Fidèle aux racines japonaises, intégrant langue, symboles, et pratiques culturelles de l’époque Usui |
Vision globale |
Technique énergétique de guérison |
Pratique de réalisation de soi et l'amélioration de l'esprit et du corps (shin shin kaizen) |